Un paysage ne ment pas, mais le regard le déguise, ce qui le rend toujours différent, comme s’il devenait un reflet de notre état d’âme. La maison des chagrins de Victor Del Arbol
Je voudrais bien vous cueillir Mais alors, vous fanerez entre mes doigts Car jamais on n'a cueilli une fleur sauvage Douce, fragile et légère comme un nuage Ce sont des fleurs des champs Libres comme le vent . Ce sont des fleurs des champs Les fleurs...